Sujet: ☞ quand un geek meurt, il va dans la corbeille ? Mar 4 Oct - 20:35
Léandre Breckenridge
Salut. Je m'appelle Léandre Breckenridge et j'ai actuellement 23 ans. Je suis né en 1988 à Folly Beach. En ce qui concerne ma vie professionnelle, je travaille pour le cinéama depuis 2 ans au poste de vendeur de places/pop corn/glaces/sucreries en tout genre ; employé polyvalent, quoi et écrivain, il a publié un roman en passe de devenir best-seller, mais sous un pseudonyme. Sinon je suis célibataire endurci et bisexuel pas du tout assumé. Je fais partie du groupe des friends. Et aussi mes collègues n'arrêtent pas de me tanner en me disant que je suis le sosie de Xavier Samuel, le seksy.
Moi c'est Jean-Pierre Castaldi, surnommé JPC et je suis sur terre depuis 22 ans. J'habite en France dans la région de Bretagne A savoir la plus belle des régions . Je serai présente 5/7 jours. J'ai trouvé le forum via Bazzart le magnifique et je dois dire qu'il est tellement détestable que j'ai décidé de m'inscrire (je ne sais pas pourquoi j'ai mis ce pingouin, mais je le trouve cool ) . Je voudrais également dire que j'aime le roquefort, merci.
Dernière édition par Léandre Breckenridge le Mer 5 Oct - 13:42, édité 6 fois
Sujet: Re: ☞ quand un geek meurt, il va dans la corbeille ? Mar 4 Oct - 20:35
citation
« On a qu'une seule vie à vivre, c'est à la fois extraordinaire,terrible, court, et infiniment long. » ▬ PS : i love you.
« Peux-tu au moins dire avec certitude que cet enfant est le mien ? » Britta baissa les yeux au sol. Ses pupilles noisettes étaient embuées de larmes, elle savait ce que cet interrogatoire signifiait. Elle se mordit férocement l'intérieur de la joue, cherchant au plus profond d'elle-même, le courage de relever la tête vers son mari. Lorsque ses larmiers rougis par l'eau salée se posèrent sur les yeux de celui qu'elle avait aimé de tout son être, elle se contenta de secouer la tête de gauche à droite. Non, elle n'était pas sûre que l'enfant qu'elle portait était le sien. Elle l'espérait du fond de son coeur, mais ne pouvait qu'admettre ses erreurs passées. Asher ne fut prit d'aucune compassion. Au contraire, une haine envahissait son âme par vagues si irrégulières qu'il frappa de manière incontrôlée contre la porte d'entrée. Son poing en sang et la porte enfoncée, il ferma les yeux pendant de longues secondes avant de feindre un retour au calme. « Alors c'est ça que tu voulais ? (...) Passer pour la pute de Folly Beach ? » Jamais Britta n'avait entendu de telles paroles dans la bouche de son mari. Elle laissa échapper un léger cri d'étonnement, avant de laisser les larmes couler sur ses joues roses. « Tu... Tu sais bien que non, Asher. Je... » Il l'arrêta en levant brusquement la main. « Tu es égoïste, Britta. (...) En allant t'aventurer ailleurs, tu n'as pensé qu'à toi. (...) As-tu pensé un instant à ta famille que tu décimais, pendant que tu t'envoyais en l'air avec... ? » Sa voix se brisa. Cette fois, l'émotion emprisonnait le jeune trentenaire et il sentit des larmes de colère lui grimper aux yeux. « Avec mon meilleur ami, Britta. Mon meilleur ami ! (...) On se croirait dans une mauvaise série B. » Il ricana légèrement, pourtant, Asher n'était pas d'humeur à la rigolade. Il se sentait trahi, humilié, comme si une part de lui-même venait de le quitter. Lorsqu'elle remarqua qu'il était soudain si faible, Britta fit quelques pas et attrapa la main de son mari avec maladresse avant de lui glisser à l'oreille : « Je t'aime toujours, Ash. » Cette fois, le jeune homme se laissa aller à son émotion, et pleura comme il ne l'avait plus fait depuis la mort de son père, alors qu'il était âgé de huit ans. Il était perdu, il ne savait pas s'il devait pardonner ou s'il devait haïr. Serrant la main de son premier et unique amour avec force, il finit par dire : « Tu m'as brisé le cœur. » Britta fut secouée d'un sanglot. Elle savait qu'elle avait tout gâché. Elle avait gâché son mariage, mais aussi sa vie de famille. Britta & Asher étaient déjà parents de deux charmantes fillettes, ils avaient tout pour être heureux. Pourtant, elle avait dérapé. Plusieurs fois par semaine, oubliant sa vie de femme au foyer, elle retrouvait le meilleur ami de son mari, et passait du bon temps. L'adultère était son pêché, et elle savait qu'elle devrait réciter un bon nombre de « notre père » avant d'être pardonnée. « Je vais rester. Pour les filles. Pour cet enfant qui est peut-être le mien et qui aura besoin d'un père. (...) Mais plus jamais je ne t'aimerai. La femme que j'ai épousé il y a dix ans n'aurait jamais fait ce que tu as fait. » Britta lâcha la main de ce si bel homme qu'elle aimait encore. Elle tenta de rester digne et hocha la tête. Puis, d'un geste presque habituel et anodin, elle attrapa une éponge, et nettoya la table de la salle à manger, tandis qu'Asher quittait la pièce d'un pas nonchalant.
« L'enfance. L'âge de la vie où tout semble possible, où on imagine qu'il suffira de vouloir changer son destin. » ▬ Gilles Archambault.
« Papa est encore en retard. » Le petit Léandre regardait ses sœurs avec de grands yeux embués de larmes. Sa plus grande sœur, Katherine, âgée de douze ans, lui tapota doucement l'épaule, avant de dire avec une moue qui ne signifiait rien de bon : « Il va arriver, ne t'inquiète pas. » Léandre attrapa son ours en peluche et le serra bien fort contre lui. Aujourd'hui, il fêtait ses cinq ans. Aujourd'hui encore, son père était en retard et Léandre se sentait comme le plus malheureux des petits garçons. Sa mère pénétra dans la bibliothèque avec son air froid habituel, avant de dire, d'un air nonchalant : « C'est l'heure du gâteau, les enfants. » Léandre fit une moue boudeuse, ce qui eut pour effet d'obliger Mary-Belle a lui donner une tape pour qu'il daigne se lever. Il posa ses mains au sol pour s'aider et manqua de tomber tandis qu'il disait : « Et... On n'attend pas papa ? » Britta haussa les épaules, tandis que des larmes commençaient déjà à couler sur les joues de son fils. Elle aurait pu être prise de compassion, elle aurait pu le prendre dans ses bras, elle aurait pu venir l'embrasser et le rassurer. Elle ne fit rien. Elle resta là à le regarder comme la pire erreur de sa vie. Cet enfant, elle se forçait à l'aimer, mais elle se rendait bien compte qu'elle n'y arrivait pas aussi bien qu'avec ses deux autres filles. Britta lui fit signe de s'approcher, et elle lui tapota maladroitement la tête : « Papa travaille. » Léandre aurait voulu hurler. Il aurait voulu crier que c'était son anniversaire et que son père se devait d'être là. Alors, devant sa part énorme de gâteau fait maison, il avala plus de larmes que de chocolat.
« Je n'en peux plus, Britta, il faut que je sache. » La dite Britta jeta un coup d'oeil à leur fils de huit ans qui jouait dans le salon avec ses soeurs. Elle savait que ce jour arriverait. Elle savait qu'Asher aurait besoin de réponses, de certitudes. Plus les années avaient passées, plus son mari s'était éloigné de sa famille, plus il avait difficilement fait face à cette situation. Il restait de plus en plus tard au bureau, il buvait plus que de raison, et il n'arrivait pas à regarder Léandre en face. Le jeune garçon savait que quelque chose ne tournait pas rond. Mais avec le temps, il avait appris à ne pas poser de question, à se morfondre dans le silence étouffant de cette famille. Ce matin-là, Léandre ne se rendit pas à l'école, mais à l'hôpital, en compagnie de ses deux parents. Tandis que le médecin lui retirait du sang, il vit ses parents se regarder avec une appréhension rare. Il ne comprenait pas ce qu'il se passait. Il ne comprenait pas que son destin basculait en ce jour du quinze juin mille neuf cent quatre-vingt seize. Après plus de deux heures à patienter dans une salle d'attente trop blanche, le médecin revint vers eux et les fit rentrer dans un minuscule bureau, avant de dire : « Ce n'est pas toi, Asher. » Léandre avait froncé les yeux. Pourquoi le médecin parlait-il si familièrement à son père ? Et qu'entendait-il par « ce n'est pas toi » ? Asher frappa du poing sur la table, se leva, et attrapa le médecin par le col. « Je vais te tuer. (...) Tu... Tu étais mon meilleur ami. Tu m'as tout volé. Ma femme, mon fils... Ma vie. » Britta éclata en sanglots, couvrant les yeux de son fils. Elle s'était toujours douté de cette nouvelle, mais maintenant qu'elle était devant le fait accompli, la descente aux enfers commençait. Asher se retourna vers sa femme et la pointa du doigt : « Je vais faire mes valises. Je... En couchant avec lui, en me faisant un fils derrière le dos, tu m'as évincé de cette famille. » Leur histoire se terminait ici. Le tableau de la trahison était face à eux. La femme adultère, le meilleur ami traître, le fils bâtard. Asher n'avait plus sa place dans ce tableau.
« Papa est parti où, en fait ? » C'était sans doute la dixième fois que Léandre posait cette question. Sa mère, quant à elle, se noyait dans la bouteille de vodka posée sur la table. Elle lui lança un regard dédaigneux : « C'est de ta faute s'il est parti. (...) Tu ne devrais même pas exister. » Le petit garçon de huit ans resta interdit quelques instants, contemplant sa mère et les flammes de l'enfer dans ses pupilles. Il attrapa son manteau dans l'entrée et prévint sa mère, avec une volonté rare chez un enfant de cet âge : « Je vais retrouver papa. » Il était sorti, et avait marché toute la journée dans la ville. Parfois, il criait le nom de son père, espérant que celui-ci apparaîtrait au coin d'une rue. Ce qu'il ne savait pas encore, c'était qu'il ne le reverrait jamais.
« Etre adolescent, c'est se rendre compte qu'on est moins bien que ce qu'on nous a laissé croire et penser que, de ce fait, la vie n'est peut-être pas aussi formidable que ce qu'on avait imaginé. » ▬ Marcel Rufo.
« Britta, ça fait six ans qu'Asher est parti sans donner d'adresse. Il est temps que tu refasses ta vie. » Britta le regarda avec dédain. Qu'est-ce qu'il espérait ? Qu'elle fasse à nouveau une erreur en se jetant dans les bras de l'ancien meilleur ami de son mari ? Carlisle se tenait face à elle avec un sourire qui se voulait réconfortant et une main sur l'épaule de son ancienne amante. « On a fait des erreurs tous les deux, mais tu ne peux pas dire qu'on ne s'est pas amusé, si ? » Britta ne put s'empêcher de sourire et de se jeter dans des bras masculins pour la première fois depuis six ans. Elle posa sa tête au creux du cou de son ancien amant et murmura à son oreille : « Pourquoi tu t'entêtes à vouloir revenir dans ma vie ? » Carlisle haussa les épaules. Il ne savait pas. Peut-être parce qu'il était éperdument fou d'elle et qu'il ne pouvait s'empêcher de croire qu'il avait une chance de la rendre heureuse. A défaut de dire tout ça, il esquiva la question et finit par dire : « On a un fils ensemble, que tu le veuilles ou non. Léandre est notre fils. Tu ne crois pas qu'il est temps de me faire entrer dans sa vie ? » Ce fut cet instant que Léandre choisit pour rentrer dans la cuisine. Il leur lança un regard haineux et se contenta de dire d'un air nonchalant : « Ca fait six ans que tu traînes chez nous en draguant ma mère. (...) Ca fait trois ans que je sais que tu es mon vrai père. » Léandre marqua une pause et contempla la mine déconfite de ses parents biologiques. « Ca fait trois ans que je m'en fous. Tu pourrais être mon clone que je me foutrais de ta gueule. T'es rien pour moi à part un parasite. » Le jeune adolescent de quatorze ans attrapa une bouteille de lait dans le frigo et remonta dans sa chambre. A vrai dire, il ne s'en foutait pas. Il ne comprenait juste pas comment les gens pouvaient à ce point vivre dans le mensonge.
« Ca te fait quoi de te comporter en gros connard, Breckenridge ? » Le jeune homme de seize ans ricana et se tourna vers la fille qui se permettait ce commentaire déplacé. « Ca fait du bien, ça détend. » Il allait continuer son chemin lorsque la fille reprit la parole : « J'suis sûre que tu n'es pas celui que tu laisses croire. (...) Pourquoi tu te comportes comme ça ? » A nouveau, il se retourna, et son regard se fit plus menaçant. Depuis quand elle se permettait de faire de psychologie ? « Ecoute, Big Abbey, tu vas éviter ce genre de réflexion à la con. Y'a des gens qui sont fondamentalement nés pour être méchants, j'en fais partie, c'est tout. » La jeune femme en face de lui sentait les larmes lui monter aux yeux. Encore une fois, il se permettait de faire des remarques sur son poids, en la qualifiant de surnoms absurdes. Elle pesait certes dans les quatre-vingt dix kilos, mais elle ne méritait pas d'être traitée ainsi. « Et t'es heureux en étant méchant ? » Un instant, Léandre resta sans réponse. La question d'Abbey l'étonnait. Il finit par dire, avant de rigoler bêtement : « Et toi t'es heureuse en faisant le poids de deux éléphants et demi ? » Abbey secoua la tête par dépit, il n'y avait rien à faire, ce type était un monstre. Sans un mot, elle s'en alla, tandis que Breckenridge rejoignait sa bande de copains. Il s'empressa de raconter à ses « amis » ce qu'il venait de dire à Big Abbey. Il était fier d'être populaire. Fier d'être qu'un pauvre connard.
« Tu pourrais me passer l'eau ? » Léandre tendit la main, tandis qu'Abbey ne lui lançait même pas un regard. Le jeune Breckenridge commençait à s'énerver sur sa chaise : « J'te parle. » Elle leva ses yeux azurs vers lui et dit calmement : « Je sais, mais la politesse n'est pas une option avec moi. » Léandre fut pris d'un fou rire, mais se rendant compte que personne ne le suivait, il s'arrêta et demanda froidement à la tablée : « J'peux savoir depuis quand Big Abbey est autorisée à manger avec nous au self ? » Un silence lourd s'imposa sur la table. Léandre ne comprenait rien à ce qui se passait. L'une de ses amies, Carolyn, lui dit d'une voix basse : « Abbey vient de perdre son père. On a pensé que ça pourrait lui remonter le moral. » Léandre resta un instant interdit, se sentant comme le pire des idiots. Il lança un regard à Abbey qui avait perdu sa légendaire bonne humeur. Il aurait du se rendre compte qu'elle n'était pas comme d'habitude, à rigoler pour un rien en lisant ses bouquins. Pourtant, sans doute vexé, il se leva en disant : « Très bien, je vous laisse faire dans le social. Moi j'me casse. » Il lança un dernier regard à ses amis, qui ne daignèrent pas le suivre. Il venait de passer du gros connard, au connard indétrônable et insupportable.
« Il y avait entre eux un espace commun dont les confins n'étaient pas bien tracés, où rien ne semblait marquer et l'air paraissait inerte, tranquille. Ils avaient l'air ébahis, comme s'ils venaient d'un endroit lointain qu'ils étaient seuls à connaître vraiment. » ▬ Paolo Giordano.
« Y'a quelqu'un ? (...) Ecoutez, il faut sortir, monsieur Macarthy m'a demandé de fermer cette salle. » La voix de Léandre était cassante, malgré les sanglots qu'il entendait et qui venaient de cette salle. Il pénétra dans la salle sombre, allumant la lumière dès qu'il trouva l'interrupteur. Il trouva Abbey dans un coin de la pièce, ses genoux contre sa poitrine, pleurant à chaudes larmes. La porte claqua derrière lui et il s'approcha. « Sérieusement Abbey, j'dois fermer la salle. J'veux pas interrompre ton moment mélodramatique, mais j'ai pas que ça foutre. » Il était immonde. Elle leva ses yeux rougis par les larmes et ne put s'empêcher à se mettre à rire en le voyant avec son air sérieux. « Tu me fais pitié, Léandre. » « Pardon ? Je crois que j'ai mal compris. » Cette fois, le rire de la jeune femme prit plus d'ampleur, et Léandre ne comprenait vraiment rien. S'il avait pu, il aurait quitté la pièce en la laissant dans ses délires, mais il devait absolument fermer cette salle. « Il s'est passé quoi dans ta vie pour devenir le gars le plus immonde de cette terre ? » Il la regarda avec incompréhension et finit par dire : « Et toi, pourquoi veux-tu à tout prix que je me comporte en gars bien ? Je ne suis pas un gars bien. » La voix du jeune homme était monté dans les aigus, tellement il s'emportait. Il avait conclu par un « Je suis une erreur. » à voix basse. Abbey tapota le sol à côté d'elle, lui faisant signe de venir s'assoir. Il ne savait pas pourquoi, mais il s'exécuta. Il s'installa aux côtés d'Abbey qui finit par lui dire d'une voix douce : « Je sais que dans le fond, t'es pas un mauvais gars. (...) Tu fais juste tout pour qu'on te considère ainsi. Tu t'attaques aux faibles en espérant faire un jour partie des forts. (...) Mais tu es faible, toi aussi. » La gorge de Léandre se serra. Pendant de longues minutes, ils restèrent silencieux. Le silence ne semblait pas les gêner, ils étaient bien, là, dans cette salle. C'était l'une des rares fois depuis longtemps que Léandre s'était senti apaisé. Il tourna doucement la tête vers elle et demanda maladroitement : « Je... Ton père est mort comment ? » Il sentit qu'Abbey se contrôlait pour ne pas se mettre à pleurer. Elle renifla bruyamment avant de répondre : « Cancer de la gorge. (...) Ca faisait quatre ans qu'il était malade. (...) Je crois que le plus dur dans l'histoire, c'est de voir une personne qu'on aime devenir aussi faible. » Elle baissa les yeux et commença à jouer avec ses doigts. Amicalement peut-être, tendrement sans doute, Léandre vint poser sa main sur celles de la jeune femme, qu'elle s'amusait à torturer. Elle sursauta légèrement à cause de la surprise et il put sentir immédiatement qu'elle était aussi mal à l'aise que lui. Cependant, il attrapa l'une de ses mains et entrelaça ses doigts aux siens. Il lui adressa un sourire, ce genre de sourire que vous donnez à une personne spéciale. Pour la première fois, Léandre se sentait compris. Il n'aurait jamais cru qu'Abbey serait celle qui ferait battre son coeur un peu plus vite, et pourtant, dans cette salle de classe, il aima pour la première et dernière fois.
« C'est pas sympa de donner de faux espoirs à Big Abbey. (...) Elle est raide dingue de toi, mais on est pas dupes, on sait bien que tu te fous d'elle. (...) On savait que tu était méchant, mais pas monstrueux, tu m'épates ! » avait lancé Martin, l'un des camarades de classes de Léandre. Le jeune Breckenridge resta un instant sans rien dire. Il ne savait pas quoi répondre. Dans son coeur, c'était clair : il aimait Abbey. Dans sa tête, il savait que le regard des autres tuerait leur couple. Ils n'étaient pas fait pour être ensemble. Ils étaient trop différents dans leurs ressemblances. Abbey semblait capable de tout assumer, tandis que Léandre vivait pour le regard des autres et leur reconnaissance. Alors, il répondit, avec un rictus : « Je m'amuse un peu. (...) Tu penses que je pourrais la dépuceler ? » Il explosa d'un rire si faux, qu'il s'en fit mal à la cage thoracique. Son coeur et ses tempes le martyrisaient, il savait pertinemment qu'il ne devait pas agir ainsi. Il aurait du assumer et avouer au monde qu'il aimait Abbey, quelque soit son poids.
« Tu sais, Léandre, depuis qu'on est ensemble, j'ai l'impression que tu es bien moins méchant avec les autres. Aurais-je une influence positive sur l'ancien monstre de Folly Beach ? » Le jeune homme sentit des larmes lui grimper aux yeux. Il soupira et déposa un baiser sur les lèvres de la jeune femme. « Sans aucun doute. » Il caressa sa joue pendant de longues secondes, se sentant en cet instant plus monstrueux qu'il ne l'avait jamais été. Il emprisonna à nouveau ses lèvres et la colla contre lui, pouvant sentir son coeur battre la chamade dans sa poitrine. Il l'aimait, mais il savait qu'elle allait-être l'issue de leur relation. Il savait qu'il allait la blesser. « Léandre, je... J'aurais jamais cru te dire ça un jour mais... J'ai envie que tu sois ma première fois. » Il aurait pu tout arrêter. Eviter de la blesser un peu plus et stopper leur relation ici. Mais il avait tellement envie d'elle au moins une fois, qu'il ne put se résoudre à refuser. Il l'entraîna doucement sur le lit, il savait qu'il n'y avait personne dans sa maison à cette heure-ci. Et avec toute la sincérité du monde, il murmura à son oreille : « Je t'aime Abbey. » Il entoura ses bras autour d'elle, la déshabilla doucement, la couvrit de baisers, et lui fit l'amour comme s'il allait mourir demain. C'est d'ailleurs un peu ce qui arriva.
« Répète-moi ça Breckenridge ! (...) Tu as couché avec Big Abbey ? Alors ça, c'est la meilleure ! » Tandis que Léandre se vantait de ses exploits en rajoutant tout plein de détails qui n'avaient même pas existés, il entendit un bruit sourd dans le couloir, qui le fit se retourner. Abbey avait fait tomber son sac sur le sol, ses affaires s'éparpillant autour d'elle. Elle venait de tout entendre et ses yeux s'étaient humidifiés immédiatement. Lorsqu'il croisa son regard azur si humide, Léandre comprit que c'était la fin. Qu'il aurait pu changer pour elle, mais que son besoin de reconnaissance de ses amis était plus fort que tout. Alors, il la regarda s'enfuir, impuissant. Sa bande de copains ricana. Léandre ravala ses larmes et se retourna pour rire avec eux. Léandre Breckenridge, monstre, briseur de coeurs, venait de refaire son apparition de la plus horrible des manières.
« Et depuis quand elle est morale, la vie ? Depuis quand elle est juste ? T'as vu ça où, toi ? » ▬ Katherine Pancol.
« Trois dollars cinquante le paquet de pop corn, s'il vous plaît. » Léandre attrapa le billet qu'on lui tendait et rendit la monnaie. Lorsqu'enfin toutes les personnes furent rentrées dans la salle de cinéma, il put saisir un paquet de dragibus, en écarter les oranges, et manger le reste. Cela faisait quatre ans qu'Abbey était sortie de sa vie. Elle avait déménagé, bien loin de lui. Parfois, en y repensant, il avait mal au cœur. Il était redevenu ce gars sans gêne et sans limites qu'il était avant elle. Les filles lui courraient après, les hommes le prenaient pour modèle. Il vivait une vie de popularité, de fête, d'alcool et de sexe. Mais il n'était pas heureux. Assis derrière son comptoir, il attendait l'entracte. Comme toujours, il sortit son carnet, où il écrivait beaucoup. Des histoires plus ou moins vécues, plus ou moins fantasmées. Une vie rêvée, peut-être, où il aurait choisit d'être moins con.
« Votre roman est une pure merveille, Breckenridge. Je vous publie avec plaisir. » Léandre n'en croyait pas ses oreilles. Il allait être publié. Ce livre était presque autobiographique, c'est pourquoi il demanda rapidement à son éditeur de le publier sous un pseudo. Il ne voulait pas que sa famille sache qu'il était l'auteur de ce livre, il voulait rester incognito. Il savait aussi pertinemment que si les gens découvraient qu'il avait écrit ce bouquin, il ne serait plus crédible dans son rôle de gars heureux et aux remarques acerbes. Alors, il voulait continuer sa vie normalement, tout en gardant cette histoire d'écriture pour lui. C'était son jardin secret, et il ne partageait cela qu'avec son éditeur.
« Tu te rends compte que tu es entrain de mater les fesses de ce gars, Léandre ? » Le jeune homme sirotait son café et fut sorti de ses pensées par sa meilleure amie. Il lui lança un regard noir avant de répondre : « Arrête de raconter de la merde, Janis. » Il lui fila un léger coup de poing dans l'épaule avant de reporter discrètement son attention sur l'homme qui venait de s'assoir pas très loin d'eux. Ce n'était pas la première fois que Léandre se surprenait à regarder un homme avec des intentions pas forcément catholiques. Durant son adolescence, il n'avait pas du tout prêté attention à cela, ni été perturbé. Après tout, il n'y avait pas de mal à trouver un homme beau, si ? « C'est vrai qu'il est sexy, tu devrais aller lui parler. » le taquina sa meilleure amie qui se doutait depuis quelques temps déjà que Léandre n'était pas si hétérosexuel qu'il en avait l'air. Léandre manqua de s'étouffer avec une gorgée de café : « Ferme-là. » Janis rigola, elle s'amusait à le faire tourner en bourrique. A vrai dire, ce n'était pas la première fois que Léandre apercevait cet homme, qu'il trouvait très mystérieux. Ils se croisaient souvent au cinéma, mais aussi dans ce café, comme aujourd'hui. Cet inconnu ne semblait pas avoir remarqué Léandre, mais le jeune Breckenridge était pourtant de plus en plus troublé à chaque fois qu'il le voyait. Cependant, les deux jeunes gens restèrent la bouche grande ouverte lorsque les évènements s'enchaînèrent : « C'est pas ta soeur qui vient de rouler une pelle à ton fantasme vivant ? » Cette fois, malgré les sarcasmes de sa meilleure amie, il ne put s'empêcher d'hôcher vivement la tête. Puis, il rectifia le tir en disant : « Je surveillais ce gars, parce que j'étais persuadé de l'avoir vu traîner devant l'appartement de chez Mary-Belle, l'autre jour. Je le trouvais louche. Je comprends pourquoi maintenant ! Ils sont ensemble, c'est tout. » Ne croyant pas une seconde l'histoire que venait d'inventer Léandre, Janis ne put s'empêcher de rigoler en disant : « Tu dois être tellement rassurée pour ta soeur. » Léandre lança un regard noir à sa meilleure amie, tandis que sa soeur et son petit ami s'avançaient vers eux. Mary-Belle fit une bise à son frère et dit d'un ton enjoué et mielleux que Léandre détestait : « Léandre, je te présente mon fiancé ! ». Elle secoua son doigt qui portait une bague de fiançailles. « Sweetheart, voici mon frère Léandre. (...) Bon, on doit filer, on vient d'avoir un coup de fil important de notre organisatrice de mariage. Dis, je compte faire une petite fête pour présenter mon futur mari à la famille, tu seras là, j'espère ? » Léandre n'eut pas le temps de dire un mot. Sa soeur entraînait déjà son fiancé dans les rues de Fooly Beach. Léandre lança un regard à sa meilleure amie, et dit simplement : « Pour une fois dans ta vie, je vais juste te demander de ne faire aucun commentaire. » Cet homme qui le troublait était le futur mari de sa sœur. Hallelujah.
Dernière édition par Léandre Breckenridge le Mer 5 Oct - 13:40, édité 13 fois
Janis H. Cooper-Presley → SHOW MUST GO ON ☋ i set fire to the rain.
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Sujet: Re: ☞ quand un geek meurt, il va dans la corbeille ? Mar 4 Oct - 20:37
OH MA TOUTE BELLE Comme je suis contente de te voir ici ! Et j'ai réfléchi à ton perso' d'ailleurs, si tu veux encore de mes idées (a)
Bienvenue parmi nouuuus, et en Xavier, ou en Ben, tu es magnifique (a)
Pippa-Louve Jamison → if you're a bird, i'm a bird.
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Sujet: Re: ☞ quand un geek meurt, il va dans la corbeille ? Mar 4 Oct - 20:38
XAVIER j'étais à deux doigts de le prendre pour mon scénario. réserve moi un lien bienvenue et bonne chance pour ta fiche (a)
N. Zara-Lynn Eastwood Admin
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Sujet: Re: ☞ quand un geek meurt, il va dans la corbeille ? Mar 4 Oct - 20:39
BIENVENUE Merci de ton inscription & Bonne Continuation =D.
E. Loü-Jack Meyers
LOÜ → blondie one sister.
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Sujet: Re: ☞ quand un geek meurt, il va dans la corbeille ? Mar 4 Oct - 20:41
Ouuhhhh le beau garçon que voilà très bon choix d'avatar. Hannnn t'aime le roquefort ? c'est drôlement intéressant puis tu sembles aimé les animaux car après le pingouin tu met le lapin .. euhm ça cache quelque chose hein bienvenuuuuuuuuuuuuuue et bon courage pour ta fiche
Jude S. Jackson
☇ ECLATS DE RIRE : 18 ☇ ARRIVEE : 04/10/2011 ☇ PSEUDO : Mlle Bulle ☇ CELEBRITE : Luke Grimes
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Sujet: Re: ☞ quand un geek meurt, il va dans la corbeille ? Mar 4 Oct - 20:43
Ton prénom + Xavier... BIENVENUE ET BON COURAGE POUR TA FICHE
Billie-Rose M. Min-Ji ROSE ❥ hello darkness, my old friend.
Sujet: Re: ☞ quand un geek meurt, il va dans la corbeille ? Mar 4 Oct - 20:50
JANIS ; GOSH, je t'aurais pas reconnue en Phoebe Mais quel choix magnifique (han, et quel pseudo, j'adore ) OH bien sûr que je veux toujours de tes formidables idées MPotte-moi, je suis sûre que tu vas me donner tout plein d'inspiration Je te remercie pour tout mignonne
PIPPA ; haan, comment refuser la belle Blake ? Tu auras le droit à un lien, bien entendu Merci beaucoup
ZARA ; j'aime ton pseudo Et encore plus Sophia Merci
LOÜ ; EMMAGNIFIQUE STONE Tu fais de sacrés déductions, mais en effet, j'adore les animaux Tu penses que ça cache quoi ? Je te remercie
JUDE ; ♫ hey juuuuuude don't make it baaaad ♫ Pardon, la fan des Beatles refait surface Han, mais que dire de ton choix d'avatar, LUKE, quoi Merci beaucoup
BILLIE ; han, j'adore le prénom Billie Merciiii
Ah, et mes amis, je tenais à vous dire une chose : votre accueil est d'enfer
Pippa-Louve Jamison → if you're a bird, i'm a bird.
» the notebook. J'ai: 24 ans Je Suis: interne. Mon Carnet d'Adresses:
Sujet: Re: ☞ quand un geek meurt, il va dans la corbeille ? Mar 4 Oct - 20:55
Léandre Breckenridge a écrit:
[i]PIPPA ; haan, comment refuser la belle Blake ? Tu auras le droit à un lien, bien entendu Merci beaucoup
de toute façon tu ne pouvais pas refuser et de rien
Janis H. Cooper-Presley → SHOW MUST GO ON ☋ i set fire to the rain.
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» the notebook. J'ai: vingt et un ans. Je Suis: vendeuse dans la boutique de souvenirs de la ville. Mon Carnet d'Adresses:
Sujet: Re: ☞ quand un geek meurt, il va dans la corbeille ? Mar 4 Oct - 20:57
HAN MA TOUTE BELLE Merci beaucoup, pour tout (a) Et hâte de te lire, tu écris tellement bien Je te MPotte de suite ma belle !
Sujet: Re: ☞ quand un geek meurt, il va dans la corbeille ? Mar 4 Oct - 20:59
PIPPA ; aah, parce que si j'avais refusé, tu m'aurais fait quoi ? Coups de fouet ?
JANIS ; U rock, honey J'espère que je ne vais pas décevoir alors J'ai déjà une petite idée du personnage, mais je suis sûre qu'avec tes idées en plus, ça va envoyer du pâté
Jude S. Jackson
☇ ECLATS DE RIRE : 18 ☇ ARRIVEE : 04/10/2011 ☇ PSEUDO : Mlle Bulle ☇ CELEBRITE : Luke Grimes
» the notebook. J'ai: 22 ans Je Suis: animateur télé Mon Carnet d'Adresses:
Sujet: Re: ☞ quand un geek meurt, il va dans la corbeille ? Mar 4 Oct - 21:01
Léandre Breckenridge a écrit:
JUDE ; ♫ hey juuuuuude don't make it baaaad ♫ Pardon, la fan des Beatles refait surface Han, mais que dire de ton choix d'avatar, LUKE, quoi Merci beaucoup
Ravie de voir que je ne suis pas la seule fan :) Un lien te sera imposé d'ailleurs (sous peine de torture)
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Sujet: Re: ☞ quand un geek meurt, il va dans la corbeille ? Mar 4 Oct - 21:02
Héhé, i know babe, so do you (a) - tu as même droit à ma petite danse de la victoire (a) - Tu n'en serais même pas capable. Héhé, je viens de t'envoyer mes idées, enfin elles sont encore au stade brouillon, mais demain je peux te les envoyer toutes pensées, j'y réfléchirai dans mon lit. (a)
Pippa-Louve Jamison → if you're a bird, i'm a bird.
Sujet: Re: ☞ quand un geek meurt, il va dans la corbeille ? Mar 4 Oct - 21:13
JUDE ; tu peux compter sur moi pour fredonner des chansons des Beatles au coin du feu ou au bord de la plage Et m'imposer un lien avec Luke, c'est comme m'imposer douze mois de vacances
JANIS ; Purée, trop seksy ta danse de la victoire, honey Ahah, j'adore toujours tes idées de toutes façons
PIPPA ; La fessée ? Serais-tu la femme de ma vie ? Carrément mieux que le fouet, t'as raison
Pippa-Louve Jamison → if you're a bird, i'm a bird.
» the notebook. J'ai: 24 ans Je Suis: interne. Mon Carnet d'Adresses:
Sujet: Re: ☞ quand un geek meurt, il va dans la corbeille ? Mar 4 Oct - 21:18
Oui la fessée han oui je suis la femme de ta vie
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Sujet: Re: ☞ quand un geek meurt, il va dans la corbeille ? Mar 4 Oct - 21:23
HAN, mais comme il est gentil mon honey Muahaha, tu es folle (a) Mais je t'aime quand même.
» the notebook. J'ai: 24 ans Je Suis: interne. Mon Carnet d'Adresses:
Sujet: Re: ☞ quand un geek meurt, il va dans la corbeille ? Mar 4 Oct - 21:39
Janis H. Cooper-Presley a écrit:
Et ma femme, pousse-toi, j'étais là avant
elle est pas partageuse
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Sujet: Re: ☞ quand un geek meurt, il va dans la corbeille ? Mer 5 Oct - 7:39
Léandre Breckenridge a écrit:
Vous battez pas, les femmes de ma vie, y'a de la place dans mon harem
Tu sais très bien que je suis folle, ma très chère sœur cachée (aa), c'est même pour ça que tu m'aimes
MUAHAHA
Et tout à fait ma très chère grande soeur cachée (aa) C'est pour ça que je t'aime, et plein d'autres choses aussi
Sujet: Re: ☞ quand un geek meurt, il va dans la corbeille ? Mer 5 Oct - 8:41
Vous me faites rire, les filles On peut établir un système de garde partagée, l'une me garde les vacances et les week-ends et l'autre pendant la semaine
Pippa-Louve Jamison → if you're a bird, i'm a bird.
» the notebook. J'ai: 24 ans Je Suis: interne. Mon Carnet d'Adresses:
Sujet: Re: ☞ quand un geek meurt, il va dans la corbeille ? Mer 5 Oct - 10:25
système de garde? pour moi ça me va il faut parler avec ma femme qui n'est pas partageuse
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Sujet: Re: ☞ quand un geek meurt, il va dans la corbeille ? Mer 5 Oct - 10:38
Moi ça me va aussi Moi je suis pour les vacances et weekends (a)