Moi c'est Aurélie et je suis sur terre depuis 18 ans. J'habite en France dans la région de PACA. Je serai présente 05/7 jours. J'ai trouvé le forum via mail de drôle de macaron (a) et je dois dire qu'il est magnifffique. Je voudrais également dire mot de la fin.

Shannon, je ne suis pas née en ville, dans le centre ville, oh non, mes parents avaient, possédaient, une demeure, une sorte de ferme. Je ne suis pas née dans un hôpital, et non, je suis née à mon domicile, tout comme mes six grands frères. Inutile de vous dire maintenant que j'étais et je suis toujours la dernière d'une grande famille. Six grand frère, dans l'ordre, Will, Arnaud, Baptiste, Ethan, Lloyd, Daël. Ma mère et moi seule demoiselle de ce clan d'homme. Ma mère a essayée de m'élever au maximum comme une fille et non comme un garçon. Mais quand je voyais mes frères partir avec mon père, sur des chantiers, j'avais aussi envie d'y aller. Quand ils allaient dans le prés plus loin récupérer nos chevaux, je voulais y aller. Mais maman me répétais inlassablement « C'est pour les hommes ça ma fille ! Allons faire la cuisine ou broder ». Toute mon enfance je l'ai passée dans l'ombre de mes frères. Quand je l'est voyais dans la cours qu'on avait, jouer au basket, au foot, je voulais absolument y aller, jouer avec eux, qu'ils me prouvent que je faisais partie de la famille. Et inlassablement ils répétaient « Ce n'est pas pour les princesses ça ! Va retrouver barbie ! ». A treize ans j'en ai eu ras la marmite. Je voulais leur prouver que j'étais tout aussi capable de faire ça. De faire des choses qu'ils disent de garçon. J'ai pris mes bottes, mon manteau. Et avec mes petites jambes je suis partie vers le prés aux chevaux. Je suis montée sur un très très difficilement et me tenir encore pire, mais j'ai tenue bout. J'étais acharnée. Je voulais leur prouver, je le voulais tellement pour qu'ils me laissent aller avec eux après. Et bien j'ai ramenée le troupeaux à la maison là où il fallait. Quand je suis rentrée dans la maison toute fière de moi et que je leur est dit. La panique, de suite tu n'as rien, tu ne t'es pas fait mal, oh mon dieu, ils ont allés vérifier tous les cheveux étaient là. C'était parfait. Je me suis faite engueuler. Mais après ce jour, mes frères me laissèrent jouer avec eux. Et papa me prenait avec lui certain jour. J'avais réussie à valoir mes droits et j'étais très fière de moi.

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« Zoey je … je ne voulais pas te blesser tu sais ! Oui au départ ce n'était qu'un pari... qu'un jeu … je te voyais là et on se moquait de toi, les potes m'ont lançaient le pari de te draguer et de sortir avec toi pendant six mois ! Au départ oui je prenais ça que pour un jeu, je voulais gagner, mais j'ai appris à te comprendre … et … et … et a t'aimer jolie Lys … Mina-Lys Zoey je t'.... ». Je posais ma main sur sa bouche avant qu'il ne dise les mots que je ne voulais pas entendre. Même si il m'aimais maintenant, il s'était joué de moi et ça je ne le pardonnais pas. Oui c'était au début mais justement, la seule raison pour laquelle il m'a parlé c'était pour ça. Une raison que je trouvais de très mauvais goût, horrible. Des perles salées coulaient le long de mes joues. Et d'une voix tremblotante je lui dis « Ne le dis pas Adam ! Je t'en supplie ne le dit pas ! Tu n'as pas le droit de le dire. Tu sais où est la sortie ! Alors par pitié, tourne toi et pars et surtout ne me reviens pas ! Tu m'as suffisamment fait mal comme ça ! Vas t-en ! ». Je me reculais. Et je vis dans son regard qu'il partait à regret. Qu'il ne voulais pas que tout ce finisse comme ça. Mais c'est chose là finisse toujours par se savoir. Et briser une idylle. Pendant plusieurs jours, je suis restée à pleurer. Il me manquait, ces moments passés complice avec lui me manquait. Tout me manquait. Et je pensais continuellement à lui.

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J'avais dix sept quand tout cela c'est passé. Mes parents étaient décédés d'un accident de voiture deux ans auparavant. Ce fut mon frère aîné qui eu notre garde. A cette époque là aussi on me découvris une sorte d'épilepsie, pas de convulsion, juste des malaises, je tombe dans les pommes, comme ça, et c'est neurologique, c'est une forme d'épilepsie. Puis au fur et a mesure, tout le monde quitta la maison. Je me suis retrouvée avec un seul de mes frères le plus grand de tous. De quinze ans mon aîné. Un jour alors que je pleurais encore Adam. Il rentra dans la chambre avec une enveloppe dans les mains, grand sourire. J'attrapais l'enveloppe. J'avais été acceptée en prépa de psychologie. J'étais si contente. J'avais sautée une classe. De ce fait j'étais en avance par rapport au autres. Donc j'attaque doucement ma deuxième années. J'aime mes études. Je n'ai pas revu Adam. Mais je l'ai encore dans mon répertoire. Il m'appelle de temps en temps mais je le rejette. Je n'ai pas non plus la force de l'effacer. Au fond je l'aime encore.