Sujet: RILEY ☺ Dude, tu donnerais mal au crane à un doliprane ! [end.] Mar 4 Oct - 20:21
Riley September Joplin
Salut. Je m'appelle Riley September Joplin et j'ai actuellement 20 ans. Je suis né(e) en Angleterre à Londres. En ce qui concerne ma vie professionnelle, je travaille pour un disquaire depuis 2 ans au poste de vendeuse. Sinon je suis célibataire et hétérosexuelle. Je fais partie du groupe des Presley. Et aussi mes collègues n'arrêtent pas de me tanner en me disant que je suis le sosie de Ashley ou Mary Kate Olsen.
Moi c'est NANA et je suis sur terre depuis 15 ans. J'habite en France dans la région de Picardie. Je serai présente 5/7 jours. J'ai trouvé le forum via LOP et je dois dire qu'il est sublime, c'est une tuerie. Je voudrais également dire que je suis une grande malade tout droit échappé d'un asile de fou et voilà quoi..
Dernière édition par Riley S. Joplin le Mer 5 Oct - 19:11, édité 3 fois
Sujet: Re: RILEY ☺ Dude, tu donnerais mal au crane à un doliprane ! [end.] Mar 4 Oct - 20:22
« Les folies sont les seules choses qu'on ne regrette jamais. »
« Tu vois l'étoile là-bas ? Elle est terriblement loin ... » Mes yeux d'enfants fixe l'étoile, j'essaye de comprendre ce que veut dire terriblement loin. Mais dans mes yeux d'enfants, terriblement loin ça correspond à l'Afrique par exemple. D'ailleurs, je ne sais pas ce que c'est l'Afrique mais, sur la carte du monde qu'on m'a montré à l'école, c'est loin, terriblement loin de Londres. De Camden, des disquaires dans lesquelles je traine depuis que j'ai environ sept ans, des habituelles punks qui traine dans ma rue et qui joue sur une guitare qu'ils transportent toujours avec eux. « Tu vois Riley, je t'aime encore plus fort que cette étoile n'est loin. » J'essaye encore de m'imaginer l'étendue de son amour aujourd'hui. Tous me paraît tellement irréel lorsque l'on me parle de mes parents. Des gens bien. Pas comme moi faut croire. « Je t'aime aussi maman. » J'avais neuf ans, qu'est -ce que vous vouliez que je lui réponde ? « Vas te faire foutre conasse. » ? Non, je n'aurais jamais osé. D'ailleurs, que ce soit ma mère ou mon père je n'ai jamais élevé la voix comme on put le faire un nombre incalculable de mes amis lors de leur adolescence. J'ai toujours éprouvé pour mes parents un amour sincère, ils étaient mes modèles. Ils le sont toujours d'ailleurs.
« Riley mini tête blonde. » C'est le surnom affectueux que m'a donné la bande de punk que je croise tous les soirs en sortant de mon école. Ils me font rire, avec leur cheveux tout rose. Ma grand-mère m'a souvent dit que c'était des sauvages, elle ne connaissait pas le petit groupe de ma rue. C'était surement les personnes les plus drôles et les plus gentilles qu'il m'ait été donné de rencontrer. Ils ont toujours fait partie intégrante de mon enfance. Bizarrement, les voir tous les soirs me rassurer un peu. C'était le train-train quotidien. Partir à l'école. Écouter. Revenir. Croiser les punks de ma rue. Les laisser m'appeler par un surnom affectueux. Écouter une chanson de Ryan et rentrer chez moi. C'était mon enfance. « Mini tête blonde qui a eut 13 ans aujourd'hui les gars. » J'essaye de paraître plus grande que d'habitude. Comme si quelque avait changé. Mais rien n'a changé. Ma vie est tellement banale. Je traine chez les disquaires dès que j'ai du temps libre. Avec Liberty on est toujours fourré un peu partout dans Camden. Je trouve la maison étouffante. Liberty à juste besoin d'être libre. J'ai 13 ans, la maison me paraît étouffante, j'ai dû mal à m'imaginer la vie autrement pourtant. Le train-train quotidien m'étouffe et j'aimerais pouvoir être libre. « 13 ans, notre mini tête blonde, on ne la voit plus grandir. » La première fois que j'ai eu le droit à mini tête blonde, j'avais 10 ans. Cela faisait trois ans jour pour jour que je connaissais la petite bande de punk plus intiment et leur monde m'attirait irrémédiablement.
« Liberty, tu crois que Janis pense à nous des fois ? » Ma sœur plante ses yeux dans les miens. Je viens d'avoir 15 ans et je fais à présent partie intégrante de la petite bande punk de ma rue. J'ai toujours le droit à Riley mini tête blonde, mais ça ne me gêne pas, j'ai l'impression de faire partie de leur famille comme ça. Je suis la petite sœur qu'ils s'évertue tous à protéger. Je suis la plus jeune, peut-être pas la plus jolie, mais une des plus appréciait, je le sais. Mais c'est dans ma nature, je suis beaucoup trop gentille. Je suis même naïve. J'aime tout le monde jusqu'à vraiment connaitre les gens. Et si je juge que tu ne me plais pas, je peux être la pire des garces. Mais chaque personne de la bande me plait à sa façon. Et ils sont tous tellement adorables avec moi que je ne peux pas ne pas les aimer. Mais revenons en à Liberty qui me fixe. Ma sœur est la chose la plus importante dans ma vie. Avant la bande. Avant mes parents. Avant le moindre de mes disques, même la plus chère des éditions spéciales est moins importante qu'elle. Si j'avais perdu Liberty, je me serais réellement foutu en l'air. « Je suis sûre qu'elle pense très souvent à nous ma vieille. » Ma vieille, c'est un truc entre nous, je l'appelle toujours ma vieille et vice-versa. Ca ne choque personne. C'est affectueux de toute façon. Et j'aime lui rappeler en tirant la langue que je suis moins vieille qu'elle a chaque fois. C'est drôle. C'est toute notre vie ça. Rire. Rire de tout, absolument tout. « Janis me manque terriblement tu sais ... » Je ne sais pas ce qu'il me prend, je me mets à pleurer. Nous avons perdu le contact avec la famille Cooper, en Amérique et les longs après-midi d'été au Texas me manque brusquement. Je suis comme ça moi, je passe le plus clair de mon temps avec les nerfs à vif, je suis aussi à fleur de pot. Aussi sensible qu'irritable. J'ai peur de moi-même. Et ce n'est que le début d'un tout.
« Liberty Summer Joplin, tu reviens ici tout de suite. Si tu claque cette porte, tu vas avoir de gros problèmes ! ». C'est inscrit dans ses veines ce besoin de liberté. Mes parents le savent, ils l'ont toujours su, un jour Liberty partira pour vivre sa vie d'artiste. Comme eux l'ont fait à son âge. Ils ne semblent pas comprendre. Moi je sais. Elle veut vivre de sa musique, réaliser ses rêves comme eux ils l'ont fait. Et je comprends mes parents, qui ne veulent pas de cette vie pour ma sœur. Ils ont toujours détesté ne pas pouvoir nous offrir tout ce dont nous rêvions parce qu'ils n'avaient pas assez d'argent. Et moi ? Je supplie ma sœur de rester. J'ai besoin d'elle. « Lib' s'il te plait, reste ! ». Elle se retourne et plante ses yeux dans les miens. « Je reviendrais, c'est promis. » Mes parents hurlent. Jamais elle ne nous a tourné le dos comme ça. Je croyais qu'elle ne m'abandonnerait jamais et je savais que ce n'était pas ce qu'elle était en train de faire. J'avais confiance en elle. Si elle avait dit qu'elle reviendrait, c'est qu'elle reviendrait. Cela ne m'empêche de l'harceler d'sms, je me venge en quelque chose, sans trop savoir pourquoi. Mes parents s'en vont, ils prennent la voiture, ne m'embrasse pas avant de partir et je ne m'en formalise pas.
[...]
« Riley ? ». Je suis seule chez moi, je laisse entrer le policier. C'est monsieur Morgan, un ami de mes parents. Quelque chose dans son attitude envers moi à changer. Il me connait bien, il m'a vu grandir lui aussi, comme la bande de punk. Mais aujourd'hui je ne lis que tristesse dans ses yeux d'habitude débordant de sympathie. « Riley, je suis désolée, mais la voiture a fait plusieurs tonneaux, ils n'ont pas pu les sauver, elle a foncé directement dans le ravin. » J'ai du mal à assimiler toutes les informations. Ravins, voiture. Rapidement je ne sais plus où j'en suis et le résultat de l'équation illogique dans la tête fait que je me fou à chialer comme une gamine. C'est la dernière fois que je laissais mes émotions passer avant tout. L'inspecteur Morgan s'en va, j'éteins toutes les lumières et me pelotonne dans un coin encore plus sombre que l'ombre qui vient de s'installer sur le tableau de ma petite vie de banlieusarde. Je téléphone à Liberty en sanglotant et elle rapplique aussi vite qu'elle est partie. Et j'ai mal, tellement mal que j'ai envie de crever. « Je te laisserais plus jamais, jamais, jamais seule Riley. Jamais. »
Et elle ne m'a pas laissé seule. C'est moi qui ai abandonné. Je vois bien qu'elle essaye de me faire remonter la pente et plus elle s'y efforce plus je me laisse glisser vers le bas. Entre les joints, ma relation pas du tout stable avec Narcisse et le fait que je ne mange presque plus elle ne sait plus où donner de la tête. Et je m'enfonce égoïstement dans mon malheur alors que je n'entends plus ma sœur chantait et que je la vois à peine vivre. Ça fait 4 ans. Aujourd'hui on a retrouvé Janis et pourtant, je m'enfonce dans le néant d'une vie que j'aurais voulue plus belle que ça.
« Tu veux quoi Riley ? » Mes yeux cherchent la source de la voix. Je ne sais plus très bien où je suis. Je baisse les yeux, voit un t-shirt trop grand sur moi à l'effigie de Bob Marley et j'essaye de me remémorer la veille. C'est difficile, ça tambourine dans ma tête. « J'te prend un joint quand je reviens. » Je sors sur le balcon, à moitié nu j'en ai bien conscience. Mes jambes se recouvre de frissons alors que je m'assois sur une chaise en plastique. Je regarde autour de moi, certain on dormit sur le balcon. Je ramène mes jambes contre moi et essaye de me rappeler pour quoi est-ce que j'me fou en l'air comme ça. Et puis je sais. Je repense à cette journée de ma vie, longue et terriblement triste où j'ai perdu mes parents. Et je comprends que si je me fous en l'air c'est parce que je ne m'en suis toujours pas remis, malgré la thérapie et tout le toin toin qui s'en suit. Je me dégoûte. Il est environ seize heure, je viens de me réveiller, j'ai faim, la gorge sèche, je rentre et m'assois sur les genoux de Narcisse. Il embrasse tendrement la peau nue de ma nuque et j'allume le joint qu'il vient de me faire. Je tire dessus, nonchalamment, ça n'a pas d'importance tout ça. C'est triste. Les choses changent rapidement et tandis que je laisse le joint sur la table pour qui le voudra, je me retrouve dans les bras de Narcisse, dans son lit. Et comme d'habitude, alors que nous sommes tous les deux dans les vapes nous couchons ensemble, tout en planant. On ne sait plus si c'est le pied de faire l'amour ou si c'est juste le joint qui nous fait cet effet là. Au fond, on est juste content d'être dans les bras l'un de l'autre. On passe juste notre temps à se détruire. « Riley ... Tu devrais penser à manger de temps en temps. » Je me lève, enfile le t-shirt qu'il portait tout à l'heure et mon jeans que je retrouve dans sa chambre. Cela me fait me demander combien de fois j'ai couché avec lui depuis 24h00. Une cadence infernale. C'est ça ma vie. « J'ai pas faim. J'ai jamais faim. J'suis au fond du trou et j'continue de creuser, je fais tellement pitié. J'vais crever mec, tel une toxico j'vais crever seule avec mon joint. » Il s'avance vers moi, embrasse mon cou, la moindre parcelle de peau nue qu'il trouve. Il m'oblige à venir se blottir contre lui. « Comme si j'allais te laisser tomber. Riley j'sais pas ce que je ferais si je t'avais pas. » Un sourire imperceptible naquit sur mes lèvres. « Tu serais toujours le gentil petit fils de ta mère. » Je m'écarte de lui, retourne prendre mon joint sur la table, prend mon sac et quitte le petit appartement rempli de gens trop ivre ou trop défoncé pour se réveiller. Au moins un d'eux ne se réveillera pas. Je n'en suis pas encore là. Les joints ça me fait du bien c'est tout. Je suis sur une pente glissante. Je pianote un message sur mon portable : « Tu crois que je sais ce que je ferais si je t'avais pas Narcisse ? » Quelques mots avant de rentrer chez ma sœur, ma tutrice légale. Je prend une douche parce que je pus l'alcool et l'herbe, mais l'odeur imprègne aussi les vêtements que j'enfile après. Je m'en fiche. Je retourne me coucher. C'est dimanche. Demain je travaille. La semaine va reprendre. Mon petit joint du soir. Et ma fête du samedi. Et puis Narcisse, qui attendra, chaque soir que je vienne chez lui pour qu'on couche ensemble. Et j'irais, avant de revenir chez moi. Je suis sur la mauvaise pente et je glisse un peu plus chaque jour ...
Dernière édition par Riley S. Joplin le Mer 5 Oct - 17:10, édité 9 fois
N. Zara-Lynn Eastwood Admin
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Sujet: Re: RILEY ☺ Dude, tu donnerais mal au crane à un doliprane ! [end.] Mar 4 Oct - 20:23
BIENVENUE Merci de ton inscription & Bonne Continuation =D.
Sujet: Re: RILEY ☺ Dude, tu donnerais mal au crane à un doliprane ! [end.] Mar 4 Oct - 20:24
MERCI tout plein
E. Loü-Jack Meyers
LOÜ → blondie one sister.
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Sujet: Re: RILEY ☺ Dude, tu donnerais mal au crane à un doliprane ! [end.] Mar 4 Oct - 20:25
ohhhhhhhhh ma noyette chérie d'amouuuuuuuur tu es làààààà oui échappé d'un asile de fou pour un autre, tu es bien tombé ma belle (: bienvenuuuuuuuue iciiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii et bon courage pour ta fiche, il va de sois que tu as super bien choisi ton avatar et qu'on aura le droit à un lien (a)
Janis H. Cooper-Presley → SHOW MUST GO ON ☋ i set fire to the rain.
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» the notebook. J'ai: vingt et un ans. Je Suis: vendeuse dans la boutique de souvenirs de la ville. Mon Carnet d'Adresses:
Sujet: Re: RILEY ☺ Dude, tu donnerais mal au crane à un doliprane ! [end.] Mar 4 Oct - 20:25
Comme elle est belle et mignonne
Bienvenue parmi nous et bonne chance pour ta fiche !
Pippa-Louve Jamison → if you're a bird, i'm a bird.
Sujet: Re: RILEY ☺ Dude, tu donnerais mal au crane à un doliprane ! [end.] Mar 4 Oct - 20:29
LOU Ma dynouche de mon coeur c'est totalement ça, je suis vais d'asile en asile en me faisant passer pour quelqu'un de normal, mais ça marche jamais bizarrement ! Merci ma dynouche, et pas de problème pour le lien et si tu as déjà une idée on peux se mpotter
JANIS Ton prénom va avec mon nom de famille Merci beaucoup
PIPPA MERCIIIIIIIIIIIIIIIIIIIII
Janis H. Cooper-Presley → SHOW MUST GO ON ☋ i set fire to the rain.
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Sujet: Re: RILEY ☺ Dude, tu donnerais mal au crane à un doliprane ! [end.] Mar 4 Oct - 20:30
GOSH, trop vrai (aa) Raison de plus pour un lien qui gère Et de rien (:
Sujet: Re: RILEY ☺ Dude, tu donnerais mal au crane à un doliprane ! [end.] Mar 4 Oct - 20:33
Héhé A FOND
E. Loü-Jack Meyers
LOÜ → blondie one sister.
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Sujet: Re: RILEY ☺ Dude, tu donnerais mal au crane à un doliprane ! [end.] Mar 4 Oct - 20:39
Haha j'aime le " d'asile en asile " c'est très ... normal oui voilà c'est quelque chose de normal. On se demande pourquoi ça marche jamais oui j'ai une idée, je te mpotte de suite ma belle
Billie-Rose M. Min-Ji ROSE ❥ hello darkness, my old friend.
Sujet: Re: RILEY ☺ Dude, tu donnerais mal au crane à un doliprane ! [end.] Mer 5 Oct - 12:46
E. Loü-Jack Meyers a écrit:
Haha j'aime le " d'asile en asile " c'est très ... normal oui voilà c'est quelque chose de normal. On se demande pourquoi ça marche jamais oui j'ai une idée, je te mpotte de suite ma belle
Je mène la vie la plus normal du monde ! Désolé pour le lien, mais t'inquiète pas, on en trouvera un tip top !
Billie-Rose M. Min-Ji a écrit:
Bienvenue
Merci A la base, Riley devait s'appelait Billie
Liberty S. Joplin a écrit:
Ma petite sœur
Au fait, notre groupe c'est Presley et on est les cousines de Janis ! [Janis Joplin MOUAHAHAHA => )